albert vu par la presse

Voici différents articles paru dans la presse sur le groupe :

Ca devait bien arrivé un jour, voici l'article paru dans le journal Libération du Mardi 6 Décembre 2005 (en plus, le jour du concert au Divan du Monde ! ) :

Chanson
Albert tente sa chanceIl était dispo ici mais malheuresement il est payant désormais...

par Gilles RENAULT
QUOTIDIEN : mardi 06 décembre 2005
Divan du Monde. 75, rue des Martyrs, 75018. Ce soir, 20 heures. Rens. : 01 42 52 02 46.

Une écoute rapide pourrait se révéler rédhibitoire : arrivé après la bataille, Albert suggère un croisement entre Bénébar et Miossec. S'il a de toute évidence écouté ces deus références, le personnage défend crânement sa chance sur la longueur. Auteur, compositeur, interprète, musicien (piano, guitare, saxophone...), ce Rennais d'origine a gravité dans le milieu du jazz, en quartette, avant d'opérer un virage vers la chanson à texte. En trio avec Jean-Baptiste Perraudin et Frédéric Tronche, il sort Sobre en 2002. C'est la même équipe qui planche ensuite sur L'Odyssée en amnésie. Usant du conditionnel, comme de l'imparfait du subjonctif, Albert arpente ununivers licencieux où les figures de style employées à haute dose (cf. Gainsbourg, autre modèle flagrant) risquent de lasser, contrastant avec des ambiances musicales plutôt distinguées.

Gilles Renault


Plutot pas mal comme article je trouve (référence à Miossec, Bénébar et surtout Gainsbourg). Qu'en pensez-vous ?

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Article paru dans le numéro de Longueur d'Ondes d'automne 2005



ALBERT

L'odyssée en amnésieDispo ici !
(Sergent Major Company / Nocturne)


L'heure est au second album pour Albert, après "Sobre" (2002) qui affichait de belles dispositions. Un disque, très voisin de son prédécesseur, à écouter un œil sur le livret, indispensable exercice pour une plongée sans réserve dans un univers sombre, tourmenté et surréaliste, où l'humour pointe parfois le bout de son nez. A l'instar de Miossec, que son chant évoque indubitablement, il excelle toujours à concocter des textes particulièrement savoureux. Souvent scabreuse, sa poésie prend le risque de choquer l'auditoire, mais elle le fait de manière subtile, évitant l'écueil de la vulgarité. La musique à dominante acoustique, à l'unisson, lorgne vers un jazz affranchi de tout académisme, une adéquation idéale donnant du relief aux mots. "L'odyssée en amnésie", (pochette et livret illustrés comme le précédant par le peintre Michael Doucet), regorge de propositions plus emballantes les unes que les autres, fleurant bon la vie dans ce qu'elle a de plus exaltant.
http://www.albertnews.com

Le 05/10/2005 par Alain Birmann




Voici aussi l'article paru dans le même magazine à l'occasion du 1er album du groupe "Sobre" :

ALBERT

Sobre Dispo ici !
Musicast

Créé en 99, le trio Albert a déjà fière allure. Sa chanson rock électrifiée n'a rien à envier aux débuts remarqués de Tue-Loup, Louise Attaque ou Miossec, vers lequel l'interprétation lorgne sans complexe. L'écriture est sûre, se nourrit des maux intimes de l'auteur, illustre un champ lexical plutôt sombre (cf. le tracklisting : "La glandouille", "L'âme morte", "La morte", "Les profondeurs", etc.). Guitare, batterie, contrebasse relient les mots d'un fil mélodique que l'on jugerait anodin, si l'on ne se fiait qu'à l'entrain du titre d'ouverture. Sur la durée, le voilà qui s'avère extensible, résistant, tendu à l'extrême, et qui jamais ne rompt… Titre générique en trompe-l'œil, "Sobre" renvoie au caractère dépouillé des morceaux, car face au réalisme cru du sieur Albert, même l'abstinence d'alcool n'évitera pas toutes les gueules de bois.


Le 30/07/2002 par Bruno Aubin

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Superbe article sur le groupe dans la revue "Bretons" (tiré à 40 000 ex et dispo dans tous les bons kiosques)

Le voici :



Pour vous faire plaisir et ne pas vous abimer les yeux, j'ai recopier le texte :

Albert,
anar peinard.

L'Odyssée en Amnésie, son deuxième album, bouffe du curé et du bourgeois sur fond de chanson-rock dense et bien ficelée. A écouter livret à la main.

Le jeune Victor Hugo voulait être "Chateaubriand ou rien". Albert, lui, voulait être "saxophoniste de Gainsbourg ou rien". "C'est ma première référence musicale, j'ai adoré cet univers pop et sophistiqué à la fois". A force d'envie, il est vite passé virtuose du sax, mais le beau Serge s'est barré. Il est donc devenu Albert - ce qui n'est pas rien - et chante aujourd'hui des chansons-rock - ce qui n'est pas pour nous déplaire.
Né du côté de Saint-Malo (la patrie de Chateaubriand justement, aucun rapport avec Gainsbourg), le jeune Albert sillonne les années quatre-vingt en "petit-con-fumiste-mais-pas-mauvais-à-l'école". Papa et Maman fonctionnent à la Poste. A la maison, la bande-son oscille entre folklore breton et chanson populaire française. Très tôt, il empoigne sa première guitare, puis son premier saxo. Il fait ses gammes au conservatoire de Rennes et crée son premier groupe de jazz. Concerts en clubs, en festivals... L'époque dure dix ans, entre Rennes et Paris. Mais "l'élitisme" du genre lui pèse et les mots lui manquent. Licencié en philosophie, le musicien sait leur force dans la bouche de qui en use habilement. Comme on retire un bâillon, Albert dépose donc son sax pour attraper un micro. "Ca correspond à une vrai démarche politique, explique-t-il. J'ai eu envie de dire des choses, de dénoncer une époque bien-pensante".
Et puis, avoue l'auteur-compositeur-interprête, "ça correspond aussi au moment où je suis devenu suffisamment mégalo pour penser que je pouvais faire un album capable d'intéresser des gens". Armé d'un piano, d'une plume et d'un home-studio, Albert concocte a tambouille. Au menu, les classiques récurrents de la bouftance anar : du curé, du bourgeois, du politicien... plutôt bien cuisinés dans l'ensemble. Il s'y amuse d'acrobaties syntaxiques où chaque phrase est tordue pour le plaisir de la rime en "con" ou en "cul". L'ombre de Brassens plane, presque encombrante. Mais les textes font souvent mouche, truffés de doubles sens - façons obsédé textuel. On tombe ainsi sur quelques trouvailles réjouissantes ("Dans tes séminaires de presbytes/ La paille dans l'oeil de ton prochain/ S'il ne s'agit du bon orbite/ Se change vite en étouffe-chrétien").
On tombe aussi sur cette chanson titre (L'Odyssée en Amnésie), conçue comme la longue et douloureuse réminiscence d'une enfance malouine ("De ces terres d'insomnies remonte du ressac/ Ce crabe rutilant qui me ronge les os"). Plus personnel que les autres, le morceau lorgne cependant du côté de Léo Ferré, chez qui Albert le libertaire semble voir, sinon un dieu du moins un maître. Côté musique enfin, on navigue entre le monde festif d'un Bénabar et l'univers torturé d'un Miossec - le génie scénique en moins - d'où remonteraient quelques relents jazzy.
Ferré, Brassens, Gainsbourg, Miossec... Un lourd héritage en somme, dont il est difficile de s'affranchir. Mais un héritage qui force le respect par les temps qiu courrent. Car, on aura beau dire, il fera toujours meilleur à l'ombre de Brassens qu'au soleil de Jenifer.

Gildas des Roseaux



Un très bon article, merci beaucoup à Gildas.

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C'est toujours bon de savoir ce qu'on pense de nous, alors voici un petit texte paru dans un dépliant Fnac pour annoncer un show case récent :

Albert
Mini-concert

C'est à Paris qu'Albert fait différentes rencontres dans le jazz (B. Lubat, Sixun, D. Liebman...), rencontres qui l'emmènent vers les plus prestigieux festivals. Pendant 5 ans il parcourt le grand Ouest de la France à la tête de son Albert Quartet. Mais pour Albert, excédé par l'art de la petite phrase en politique, parler est un engagement et écrire devient une nécessité. A l'exemple de Ferré et de Brassens, Albert met désormais en scène son quotidien pour parler des thèmes qui le touchent. Et sous l'apparente sobriété de la musique, il dissimule une audacieuse écriture harmonique et rythmique.

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A lire aussi sur l'excellent site "L'Art-Scène", le site de chanson rock et culture alternative (mais malheuresement qui n'est plus mis à jour).

Le site de L'Art-Scène. (avec l'article sur Albert en première page)

Avec au menu :
- une fiche et une présentation du groupe (non mise à jour je le signale pour ceux qui croit que le groupe est composé de 3 personnes, désormais il sont 4 avec Gaetant Lambart)
- la discographie (mais avec uniquement Sobre de présenté)
- des extraits sonores (de Sobre aussi)
- deux interviews
- une rapide revue de presse
- et quelques photos.

Que demander de plus !

Un grand merci à Vincent de l'art-scène (complice de longue date et désormais sur les routes avec Big Mama ).

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Bon,

Voici un article qui vient tout jsute de paraitre dans le magazine "Batteur Magazine n°188 - Janvier 2006"

Rubrique Tam-Tam :

L'Univers d'Albert

Albert et ses compagnons de voyage nous ont, une fois de plus, charmés au Divan du Monde, ce soir de décembre. Nous faisant voyager dans un univers, Albert nous entraîne au fil des mots dans un monde de révolte, de souffrance mais aussi d'amour. La mélodie se fait parfois discrète laissant Albert le poète presque seul sur scène, mais devient vite plus rock et même parfois jazzy. Saluons au passage les musiciens d'Albert et tout particulièrement son batteur, Jean-Baptiste Perraudin, un des journalistes pilier de Batteur Magazine. A découvrir le CD d'Albert "L'Odyssée en Amnésie".

Véronique Bulteau


A noter que le mois prochain, l'album L'Odyssée en Amnésie sera chroniqué dans deux magazine, "Batteurs Magazine" et aussi "Franco Fans", le magazine de la nouvelle scène française.

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Article paru peu avant le Divan du Monde :

L’ODYSSEE EN AMNESIE D’ALBERT

Fervent admirateurde Brassens et de Ferré, passionné par la chanson engagée, formé à l’écriture jazz et au saxophone, ALBERT propose dans son dernier album « L’Odyssée en Amnésie », un mélange détonnant. Il met en scène un quotidien surréaliste, parfois scabreux, donnant à sa musique l’apparence d’un exutoire à ses tourments.
Certains l’aiment, d’autres le détestent.
Personne ne reste insensible !

PARU/VENDU
le 5 Décembre 2006.

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Article paru pour annoncer la date du Divan du Monde :


ALBERT, L’ODYSSEE EN AMNESIE

10 morceaux nerveux, composés principalement au piano et au titres évocateurs, l’Odyssée en Amnésie se veut intentionnellement provocateur.
Enregistré et mixé à Trans (Bretagne), à Rennes, près de Pragues et à Paris, il est renforcé par la participation exceptionnelle de Mickaël Plihon (Trompette) et de Fred Woff (orgue ).
Pour sa Tournée, ALBERT collabore avec Gaëtan Lambart pour restituer sur scène la dynamique qui se dégage de ce nouvel album.

Paris Paname
Lundi 28 Nov 2005 - Sorties de la semaine

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Article paru dans le quotidien parisien :

Brillant musicien de jazz, ALBERT délaisse son sax pour se consacrer à la composition.
Son amour pour la langue française le porte à puiser ses influences du côté de Brassens.
Il présente son 2ème Opus : L’Odyssée en Amnésie. Ce soir au Divan du Monde…

20 minutes
Le Mardi 6 Décembre 2005

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Voici un article paru sur le net récemment, bonne lecture :




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Chronique sur le groupe en tant que découverte sur le site :



L'article en question !
Merci à k1.



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Chronique de l'album "L'Odyssée en Amnésie" ce mois-ci dans le magazine Franco Fans :

A lire ici aussi !

Trois ans après son premier album "Sobre", Albert écrit ces dix nouveaux titres suite à une remarque d'Alain Chabat commentant sa parodie de pub Royal Rabin, qu'il estimait ne plus être imaginable aujourd'hui.
Il signe là des textes forts et engagés et embarque l'auditeur dans un univers sombre où il n'hésite pas à dénoncer une actualité politique déplorable.
Sa voix s'apparente à celle de Miossec mais c'est dans un univers bien personnalisé qu'il nous plonge.
Par la force des mots et des mélodies accrocheuses, il prend le risque de déranger...
Mais l'écriture est si ingénieuse et si fine qu'il ne peut nous faire que réfléchir.
Par ailleurs, son neuvième titre L'imposteur nous rappelle qu'Albert sait aussi émouvoir et c'est sans nul doute cette ambivalence qui fait de ce chanteur un réel artiste.
Il s'étiquette lui-même de chanson rock libertaire. Il est passé maître en son art et a de quoi en être fier...

Nicolas Claude, Franco Fans - Avril 2006




www.francofans.fr


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En ce beau mois de Juin, un nouveau site faisant la part belle à la Nouvelle Scène Française vient de voir le jour.

Et nous sommes heureux d'avoir pu faire parti des artistes présents dès l'ouverture de ce site.

Et hop la page consacrée à albert !


Merci à Arnaud et longue vie à son site : www.hexalive.com

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Un très bel article sur Albert dans le magazine Batteur Mag, à lire de toute urgence !!




Merci à Laurent Bataille pour cet article.


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Un article paru la semaine dernière sur ALBERT dans le Ouest-France de la région de Malansac :



Encore merci aux enfants !

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Chronique de l'album "L'Odyssée en Amnésie" sur le site STAYA.NET.

Merci à Djyp pour cette chonique !

http://www.staya.net/chroniques.php?id=454

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